Babylone, cet OFMI !

Audit & Conseil

Babylone, c’est l’histoire de rencontres pas toujours liées au hasard mais comportant une forte dose de sérendipité.
Babylone, c’est un objet multiformes qui pour les babyloniens à des contours différents selon les envies de chacun. Babylone, c’est a minima un forum, [un « Do Tank » diront les plus anglophones ;)] dans lequel échangent des personnes cherchant et expérimentant des alternatives pour rendre la ville plus résiliente. Babylone, c’est pour certain un collectif ou un groupement d’acteurs de la résilience (énergie, déchets, agriculture) et pour d’autres une communauté voire … un marché [au sens place du village et lieu d’échanges directs entre personnes].
Babylone, c’est tout ça. Mais comment communiquer à l’extérieur auprès « d’institutionnels » sans leur faire peur ? Comment pérenniser les actions menées sur la base fragile des contributions bénévoles ?

La communication extérieure de Babylone ?

Un dess(e)in plutôt qu’un long discours ?

Une proposition d’IGE pour comprendre l’écosystème de Babylone. [suspense]

Un site portail autour de l’esprit Babylone en matière d’agriculture urbaine : lab-au.org ?

La recommandation d’IGE en matière de « communication extérieure » : ne pas communiquer sur Babylone mais sur les projets soutenus ou identifiés par les acteurs babyloniens. Cela afin de rendre visibles les expérimentations en agriculture urbaine grâce à un label : le lab’AU.

La pérennité de Babylone & des actions de ces membres en adoptant une monnaie complémentaire ?

Le temps a-t-on l’habitude d’entendre, c’est de l’argent. Or, Babylone c’est beaucoup de temps passé en organisation ainsi que dans la structuration d’actions et d’expérimentations pour ses membres.

Si certains n’y voient que des échanges intellectuels riches et fructueux. D’autres réfléchissent aux modèles économiques de demain et à la pérennité de leur propre structure. Et si l’on introduisait la monnaie complémentaire pour rétribuer certaines contributions marchandes ayant des prix qui auraient été discutés collégialement ?
Un bon compromis entre les valeurs de partage et la possibilité d’être rémunéré pour un travail ? « À l’heure actuelle, 97 % de la monnaie en circulation sur la planète est utilisée dans la sphère financière dont 40% pour la spéculation. Une faible partie de la masse monétaire disponible est utilisée par l’économie dite réelle.
Autrement dit, la monnaie a été presque entièrement détournée de son usage premier : un échange direct entre personnes.  » (Symba)

En Ile de France, la Pêche & Symba sont soutenus par la région Ile de France. IGE a eu l’occasion de rencontrer leurs représentants.
Deux occasions seront prochainement offertes d’en savoir plus sur ces monnaies complémentaires :

  • Assemblée Générale de l’association la Pêche, le samedi 6 décembre à Montreuil.
  • Soirée Symbase, le 8 décembre, à La Paillasse !

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Communication extérieure, utilisation de la monnaie complémentaire : deux gros sujets qui, avec le projet ZéBU seront notamment abordés lors de la réunion Babylone #14 du 18 décembre 2014. Une nouvelle occasion pour Babylone, cet organisme à formes multiples identifiées (OFMI) de croître en intégrant de nouveaux projets et de nouveaux membres. Que de chemin déjà parcouru depuis la graine originelle du projet ZAUM au Mozinor !

Le 3 dec. 2014
CD,

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